lundi, mars 16, 2009

Vertiges de l'amour, vertiges de la mort

Alain Bashung est mort.
Je suis triste.
La mort est une telle finalité, cela me coupe le souffle à chaque fois que j'y suis confrontée.
Il est mort, alors il n'écrira plus, il ne cherchera plus un autre son, un autre mot qui percute.

Heureusement sa voix ne s'éteindra jamais. Sa voix, pop, planante, rock, tellement sombre parfois, aux mots et sons réjouissants à d'autres moments.

J'essaie de me rappeler un époque où je n'écoutais pas Alain Bashung.... cela m'échappe. Il me semble qu'il a toujours été là, il le sera toujours..

J'ai beaucoup écouté Bleu Pétrole, son dernier disque, aujourd'hui, je vais me balader avec Gaby et m'étendre à côté de madame qui rêve.
"un jour je t'aimerai moins
jusqu'au jour où je ne t'aimerai plus
un jour je courrerai moins
jusqu'au jour où je ne courrerai plus"
résidents de la république - Bleu Pétrole

1 Comments:

At 9:05 p.m., Anonymous Anonyme said...

Big Sista,
Je partage ta tristesse. Un grand s'est éteint.
Son oeuvre continuera d'habiter mon quotidien...

Merci Alain Bashung

Bella Sista

 

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